La meva amiga Sophie de
Sur des Ailes de Papier ens va demanar de fer un conte de fades i em va semblar sensacional, una manera de posar un repte a la nostra creativitat. M'ha costat una mica, la veritat, trobar el to i a més en francès! Però finalment aquí està.
Com que el joc és en francès el conte é en francès, si sóc sincera no he tingut temps de traduir-lo... Però sé que les meves amigues catalanes, fareu un esforç. Qui més qui menys em fet una mica de francès i com som una mica "bilingües" ( amb el castellà), suposo que no hi haurà problema. Em sembla que ha quedat bonic.
Y a mis otras amigas os pido un esfuerzo, así, practicamos nuestro olvidado francés!
Notre amie Sophie de
Sur des Ailes de Papier nous a demandé de faire un conte de fées.
Pour moi c'était un défi.
Après certains soucis, pour trouver le bon chemin, je m'en suis sorti, crois, avec succes.
Et voila mon (intitulé)
Conte de Fées
Il était une fois deux soeurs qui habitent une grande ville, où il y a trop de voitures, trop de gens, trop de pollution. Elles nomment Lydia et Irène.
Elles habitent avec son papa et sa maman un grand groupe de bâtiments.
Elles vont à une
« bonne école » où elles ont beaucoup d’amies. Lisent avec plaisir
beaucoup de contes de fées lesquels adorent et qu’elles prennent de la grand
bibliothèque familial, dont son préféré c’est la Belle dormant.
Mais ce qu’elles
aiment vraiment sont les fleurs, les arbres, la forêt. Elles aiment entendre le
son de l’eau qui coure, le sont des feuilles sèches sur les chemins des champs,
l’arôme des fleurs et de l’herbe mouillée.
Et c’est pour
cela qu’elles aiment, aussi, aller visiter ses grands-parents. Ils habitent une
petite maison où il y a un petit jardin dont s’occupe soigneusement sa mamie tandis son papi maintient tout en
bon état, il est un bon menuisier. Il y a autant de fleurs très odorantes!
Elles aiment y aller à printemps où toutes les fleurs sont splendides avec un
parfum enivrant.
Elles cueillent
de fleurs pour les rapporter chez soi, ou à son école, et il est de cette façon
qu’elles sont très heureuses.
Un beau
après-midi de mai, son papi leurs appela par téléphone, sa mamie avait préparé
une goûter, un bon gâteau à fraises lequel elles aiment spécialement, les
attend.
Lorsqu’elles sont
arrivées et ont mangé son papi leurs propose d’aller se promener aux champs
prochains chez eux.
Le temps est-il
chaud et les jours allongent, le soleil a, encore pas mal, d’heures pour se
coucher. Elles sautent de joie, pourrant cueillir des fleurs sylvestres, très
adorables avec sa particulière fragilité.
Elles entendront
le chant des oiseaux, des grenouilles près de l’étang, que de plaisir se cacher
entre les grands chênes, ou chercher des fraises, et framboises.
Après baiser sa
mamie, qui reste dans la maison, tranquille avec son livre, elles prennent le
chemin de petite forêt.
Lorsque elles s’y
approchent le paysage est chaque fois plus merveilleux. Quand ils sont arrivés en
forêt, son papi, un peu fatigué reste en se couchant sur l’herbe. Il s’endorme.
Tandis quelles
jouent se cachant entre les ronces, en cueillant de framboises, elles avancent
par le chemin poursuivant papillons et libellules, et à la fin arrivent au petit
étang. Ce qu’elles peuvent observer est bien merveilleux. Plusieurs fleurs avec
des papillons les entourant, de libellules à la demie de l’eau, le soleil qui
comble l’aire de milliers d’étincelles. Au moment qu’elles y arrivent les
grenouilles chantent, mais en ce moment-la elles taisent et un silence doux,
pur, le entoure.
Elles sont si
distraites avec les fleurs, son parfum, que sont presque étourdies, quand quelque
chose attire son attention. Un petit bruit, un petit reflet, en la lumière.
Elles tournent
doucement, et des ailes frôlent ses visages.
Incroyable, cela n’est pas de
libellules. Frottent ces yeux, s’étreindrent, ce sont des fées. Des fées
merveilleuses, charmantes, qui voltigent à l’entour d’elles. Il semble que
n’ont pas de peur. Un parfum ravissant comble l’espace, et de petits morceaux
de fleurs, d’une telle finesse, presque transparentes tombent sur elles.
Alors, ces fées, font de cabrioles en l’aire, entourent,
montent, baissent…
en leurs chuchotant des paroles…
Mais tout d’un coup, courent
et disparaissent.
Elles voient en
se tournant, son papi qui les crie. C’est l’heure de retourner, le soleil va se
coucher.
-Qu’est-ce que
vous arrive ?- Leurs dit son papi.-Vous êtes endormies ?-
Elles doutent,
réellement ce parfum, la lumière… Mais elles sont sûres d’une chose, elles ont,
maintenant, sont jardin secret. Et toujours y reviendrant parce que le jardin
est merveilleux!
Les années passeront,
et les visites au jardin se succèderont. Jamais reviendront les fées. Elles se
feront grandes. Mais elles n’oublieront jamais ce coin de nature, et elles seront
de vrais défenseurs de mère nature.
C’est le message
que leurs ont chouchouté les fées,
aussi que disparaissent de coins de nature comme
celui-ci, disparaissent les fées.
Gardons, donc, la
nature, gardons ces coins magiques.
Gardons nos jardins naturels.
Et ce conte c'est fini...!
J'espère que ce conte vous ait plu.
Pardon pour mes possibles erreurs grammaticaux en français
que vous demande de me corriger.
Je vous en remercie à l'avance.